lundi 7 juin 2010

Marché aux puces à Tôji

Hier dimanche, j'ai repris le train pour Kyôto, un peu plus tard que d'habitude quand même, pour retrouver une collègue et aller au marché aux puces de Tôji. Les marché était installé, comme souvent, dans la cour d'un temple (le temple de Tôji, situé au sud de la gare de Kyôto, est connu pour sa pagode, la plus haute pagode en bois du Japon - 54,8 m)


Il y avait de vieux kimonos, des jouets en bois, des éventails, de la vaisselle du début du siècle, ... Je ne suis pas du tout habituée à chiner, donc je n'ai pas rapporté grand chose, mais la visite était amusante.


J'ai encore été interrogée par des lycéens en voyage scolaire. Ils ont l'air d'avoir pour mission de poser des questions en anglais et de présenter leurs résultats en cours. Mais ils préfèrent souvent qu'on leur réponde en japonais !

Le café où j'ai mangé une bonne salade niçoise.


La découverte culinaire du jour, c'est la spécialité de Nagoya, l'uiro, une espèce de pâte sucrée à base de farine de riz, cuite à la vapeur. Ca existe depuis plus de 100 ans, mais ce n'est pas vraiment d'un grand intérêt gustatif, et je n'en rachèterai pas.


Décidément, j'ai du mal avec tout ce qui vient de Nagoya...

2 commentaires:

ayuuuuu a dit…

LOL, Nagoya \o/

(on s'comprend huhu)

david a dit…

Tu ne peux pas dire que tu as du mal avec les spécialité de nagoya avant d'avoir gouté le plat le plus merveilleux du monde qui n'est autre qu'une specialité de Nagoya, à savoir "Hitsumabushi", il s'agit d'une spécialité a l'anguille, un peu comme una-don mais en mieu...