mercredi 19 novembre 2008

ordinary

Post de mi-semaine, c'est toujours la routine, mais il s'est remis à faire beau. Ce midi, j'ai même pique-niqué dehors au soleil, sans veste d'hiver. Par contre dès qu'il n'y plus de soleil, il fait frisquet.

J'ai encore eu un nouveau strap pour portable ! Décidément, j'aime la coutume japonaise de l'omiyage ! Le principe, c'est que dès qu'on va en voyage quelque part, on rapporte pour les proches, voire pour les gens du bureau, une spécialité de la région, ou un objet typique. Au Japon, il existe un gros marché du souvenir et de la spécialité régionale.
Et donc cette fois, c'est Masa qui est allé à Kyôto, dimanche dernier, et qui m'a rapporté des bonbons traditionnels et un strap avec une maiko. Les maiko, ce sont les apprenties geisha, qu'on peut encore croiser à Kyôto (capitale du Japon avant Tôkyô, ville réputée pour ses nombreux temples et son patrimoine historique). Les bonbons s'appellent konpei tô et sont à base de sucre. Leur goût rappelle assez celui des oeufs à la liqueur qu'on mange à Pâques, le genre de sucreries que j'adore.


Ceci mis à part, pas grand chose de nouveau. Hier une des Chinoises de l'étage s'est essayée à la pâtisserie, c'était assez folklorique. La pauvre a enchaîné les déboires. Sa pâte (dont j'ai du mal à identifier la recette, ça faisait omelette à l'huile avec un peu de farine et de sucre) était tellement liquide qu'elle s'est mise à fuir parce que le fond du moule était démontable. Je lui ai donc prêté mon moule à cake, qui est étanche. Le gâteau a commencé à gonfler, puis il a tellement pris de volume (mais d'une manière étrange, j'ai l'impression qu'il n'y avait pas de levure dedans, et qu'il faisait des grosses cloques), qu'il s'est mis à coller à la résistance du four, et donc à brûler... C'est dommage, j'aurais bien aimé apprendre un peu de pâtisserie chinoise.

Et puis dans les choses notables, bien sûr, la sortie de l'album des News, qui tourne en boucle dans Winamp. Rien de très original, mais de toute façon on ne leur demande pas de révolutionner la musique, juste de ne pas chanter trop faux pendant les concerts (mais au final, comme les sujets défaillants sont en playback quasiment en continu, ça ne chante pas si faux que ça...). Et comme d'habitude, je me suis mise à aimer jusqu'à la pire piste de l'album. Elle s'appelle "Smile maker", et est presque aussi efficace que "nantoka narusa" pour mettre de bonne humeur, sauf que cette fois le style n'est pas Compagnie créole, mais chinoiseries : "jibun no tame janakutemo, dareka no tame ni waraou, yorokondekureta kao, datta taite kureku chikara o"... Il ne reste plus qu'à apprendre les paroles des nouvelles chansons d'ici le concert.
Et puisque j'en suis aux Janiizu, pour celles que l'info intéresse, Yan m'a dit que lors de leur concert à Shanghai (tout premier concert de Janiizu en Chine), les Arashi ont été rappelés quatre fois... il paraît que Papi-Kita était du voyage, donc on peut penser qu'il va chercher à d'améliorer le rayonnement asiatique de sa boutique.

J'espère pouvoir vous faire un post plus fourni en photos ce week-end, samedi je vais avec ma classe d'expression orale au Mont Takao.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

mon père est allé à Kyoto,il m'a ramené des straps aussi,un de hello kitty et un d'une geisha,enfin je pense que s'en est une,a moins que ce soit une maiko(je ne connaissais pas)
jai commandé le color,et je l'écoute pr la 1ère fois en entier en ce moment mm.Juste avant que je vienne voir ton blog c'était comme par hasard ordinary qui passait <3

et au dpt si j'étais venue c'était parce que heir jai oublié de te souhaiter une bonne fête!!!
c'est la Ste cécile si je ne me trompe pas...
bzx
a+
mel