Jeudi 5. C’était le jour du voyage d’Atami à Kyoto. Dominique et Odile ont pris le shinkansen, l’équivalent du TGV, qui reliait les deux villes en moins de trois heures. Pour ma part, n’ayant pas droit au Japan Railways Pass (qui permet aux touristes étrangers de voyager à volonté sur les lignes JR), j’ai choisi une option bien connue des étudiants japonais : le seishun 18 kippu. Pour 11500 yens, on a droit pendant cinq jours (pas forcément consécutifs) de prendre le train autant de fois sur les lignes locales JR. « locales », c’est là que réside la différence avec le JR Pass… en clair, on n'a le droit de prendre que les omnibus. Je suis donc partie à 6h45, pour arriver à Kyoto à 14h30 (car il faut ajouter au temps de trajet l’heure de retard due à un problème de feux de signalisation).
L’avantage, c’est que j’ai eu le temps d’observer les paysages. Et puis j’ai vu le Mont Fuji depuis le train (je n’ai pas aller prendre une photo de peur de perdre ma place assise), sous le soleil il était magnifique.
Après avoir retrouvé Dominique, Odile et Masa à la gare de Kyoto (non sans difficultés, il y a deux « sorties principales » dans cette gare !), nous sommes allés prendre nos quartiers (hôtel et auberge de jeunesse) puis nous promener un peu dans le centre ville.
Kyoto, ancienne capitale, qui a conservé de nombreux bâtiments anciens, est protégée par une loi qui limite la hauteur des immeubles, et est relativement épargnée par les néons, ce qui en fait une ville à l’ambiance beaucoup plus reposante que Tokyo ou Osaka. Par contre, elle est construite selon un plan en damier, avec des noms de lieux qui se ressemblent tous, si bien que même après y avoir passé une semaine, j’ai toujours du mal à m’y repérer.
Voici la Kamo-gawa (« Rivière aux canards »), qui traverse l’est de la ville.
La tour de Kyoto, haute d’un peu plus de 100 mètres.
Et le Higashi Hongan-ji, un temple bouddhiste pas très loin de notre auberge de jeunesse (K's house Kyoto, excellent auberge de jeunesse, que je conseille !).
Et pour finir, voici ce que Masa a repéré sur la devanture d’une boutique :
L’avantage, c’est que j’ai eu le temps d’observer les paysages. Et puis j’ai vu le Mont Fuji depuis le train (je n’ai pas aller prendre une photo de peur de perdre ma place assise), sous le soleil il était magnifique.
Après avoir retrouvé Dominique, Odile et Masa à la gare de Kyoto (non sans difficultés, il y a deux « sorties principales » dans cette gare !), nous sommes allés prendre nos quartiers (hôtel et auberge de jeunesse) puis nous promener un peu dans le centre ville.
Kyoto, ancienne capitale, qui a conservé de nombreux bâtiments anciens, est protégée par une loi qui limite la hauteur des immeubles, et est relativement épargnée par les néons, ce qui en fait une ville à l’ambiance beaucoup plus reposante que Tokyo ou Osaka. Par contre, elle est construite selon un plan en damier, avec des noms de lieux qui se ressemblent tous, si bien que même après y avoir passé une semaine, j’ai toujours du mal à m’y repérer.
Voici la Kamo-gawa (« Rivière aux canards »), qui traverse l’est de la ville.
La tour de Kyoto, haute d’un peu plus de 100 mètres.
Et le Higashi Hongan-ji, un temple bouddhiste pas très loin de notre auberge de jeunesse (K's house Kyoto, excellent auberge de jeunesse, que je conseille !).
Et pour finir, voici ce que Masa a repéré sur la devanture d’une boutique :
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