Mercredi 4. Nous avons pris le train pendant environ une demi-heure, pour aller à Ito, un peu plus au sud dans la péninsule d’Izu.
C’est un petit port de pêche, coincé entre la mer et les montagnes, dont l’une des spécialités est le poisson séché au soleil (ou grâce à un ventilateur quand il fait nuageux). Il y avait des poissons étalés devant les boutiques qui longent le bord de mer. Il paraît qu’après leur séchage, il faut les faire griller au four avant de les consommer, mais je n’ai pas osé en acheter…
L’autre spécialité de la région, ce sont les agrumes, on est même tombés sur une boutique qui ne vendait que des oranges, mandarines, mikan, ponkan, dekopon, et compagnie.
Plusieurs sources chaudes débouchaient dans le centre ville, leur vapeur est en particulier utilisée pour faire cuire des pâtisseries, les onsen manjuu, fourrées, comme d’habitude, à la pâte de haricots rouges.
L’arrivée de la pluie nous a fait rentrer à Atami assez rapidement.
C’est un petit port de pêche, coincé entre la mer et les montagnes, dont l’une des spécialités est le poisson séché au soleil (ou grâce à un ventilateur quand il fait nuageux). Il y avait des poissons étalés devant les boutiques qui longent le bord de mer. Il paraît qu’après leur séchage, il faut les faire griller au four avant de les consommer, mais je n’ai pas osé en acheter…
L’autre spécialité de la région, ce sont les agrumes, on est même tombés sur une boutique qui ne vendait que des oranges, mandarines, mikan, ponkan, dekopon, et compagnie.
Plusieurs sources chaudes débouchaient dans le centre ville, leur vapeur est en particulier utilisée pour faire cuire des pâtisseries, les onsen manjuu, fourrées, comme d’habitude, à la pâte de haricots rouges.
L’arrivée de la pluie nous a fait rentrer à Atami assez rapidement.
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