mercredi 17 septembre 2008

Test de placement en japonais

Encore une journée bien remplie. J'envisage vraiment d'engager une secrétaire, ça fait deux heures que je suis rentrée et je suis encore en train d'écrire des mails et le blog.
Ce matin, on a donc eu droit au test de placement en japonais, test qui avait l'air de vraiment beaucoup stresser certaines personnes (au point de les avoir empêchées de s'endormir). Je ne sais pas si c'est dû à l'accumulation de stress de l'an dernier, mais j'y suis allée vraiment détendue, et sans réviser beaucoup (de toute manière, par où commencer quand on n'a qu'un après-midi pour réviser?!). Je serai peut-être moins zen vendredi, quand on aura les résultats...

Pour fêter la fin du test, on est allées tester le restaurant (je pense que ça fait partie d'une chaine, hanamaru) de udon (grosses nouilles de froment) soit disant le moins cher de Tokyo, selon le guide concocté par les étudiants de Waseda. Pour moins de deux euros, j'ai eu un plat d'udon avec du negi (entre l'oignon nouveau et la ciboulette) et du sésame, le tout dans du bouillon, et c'est vraiment bon. C'est meilleur que les chaines de donburi (bols avec du riz en dessous et d'autres choses au dessus, du type tranches fines de porc et oignons frits), et surtout, plus léger. Sur la photo, le truc blanc, c'est de la friture (comme celle qu'il y a sur les tempura, les beignets japonais) qu'on peut rajouter, c'est super bon.


Ensuite, annulation de toute la série d'options prises avec le contrat de téléphone, on est encore tombées sur une vendeuse super sympa, qui a patiemment expliqué et ré expliqué toutes les choses qu'on ne comprenait pas. J'ai aussi récupéré mon sceau, ça donne ça :


L'après-midi, dégustation de mame-daifuku (pâtisserie avec de la pâte de haricots rouges sucrée au milieu et une enveloppe de riz gluant inscrutée d'haricots noirs autour).On aurait dû boire ça avec du thé vert japonais, mais c'était bon aussi avec du thé anglais :


Puis on a retrouvé Aki à Ikebukuro, et fait les boutiques. C'est dingue le nombre de boutiques de fringues qui portent des noms français : Yvette, olives des olives, et les autres j'ai oublié. Il y avait des beaucoup de fringues affreuses, comme chez nous, mais aussi quelques-unes sympas, que je n'ai pas essayées parce que ça m'étonnerait vraiment que je trouve ma taille. Aki, avec un goût toujours aussi sûr, a acheté un sac à main apparence laine-sur-le-dos-du-mouton, ce qui allait à ravir avec son association chaussettes noires avec des personnages dessus qui remontent au dessus du genoux et chaussures vertes pomme type converses basses. Donc je confirme qu'on croise vraiment tous les styles. Retour à la résidence en voiture, le manager d'Aki et Li Na, qui est japonais et a son bureau près d'Ikebukuro, nous a ramenées à domicile. Ca me fait toujours aussi bizarre, les voitures qui roulent à gauche.

Aujourd'hui, zoom sur les distributeurs automatiques (jidôhanbaiki), il y en a littéralement tous les cinquante mètres. Certains distribuent des boissons, et d'autres des cigarettes (pour ceux-là, je crois qu'il faut insérer sa carte d'identité, il est interdit d'acheter du tabac en deça de 20 ans).
Les boissons sont assez variées, du thé, des sodas, et pas beaucoup plus chères qu'au combini.


Parfois on croise des alignements de machines sur le trottoir, comme celui-ci, un pour chaque marque je pense.


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